84, rue du Sacré-Cœur
Charlemagne (Québec)  J5Z 1W8
Les collectes des ordures ménagères (déchets), des matières compostables et des matières recyclables sont entièrement mécanisées, il est donc important de noter qu’aucun excédent n’est collecté dans des sacs placés en bordure de rue, des bacs non conformes ou d’autres contenants.
Dans tous les cas, vous devez déposer vos matières résiduelles en bordure de rue la veille de la date prévue de la collecte.
Des collectes additionnelles de sacs de feuilles et de résidus verts sont incluses au calendrier annuel, en supplément de la collecte régulière des matières compostables (jusqu’à cinq par année).
Les sacs peuvent être déposés à l'extérieur du bac et en bordure de rue (merci de ne pas utiliser de sacs de poubelle de couleur noire).
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Il est primordial de ne pas jeter les résidus domestiques dangereux (RDD) avec vos ordures ménagères. En effet, les RDD contiennent des substances dangereuses qui sont dommageables pour l’environnement et pour votre santé.
Pour vous en débarrasser, apportez-les en tout temps à l'Écoparc de L'Assomption ou apportez-les lors de la collecte annuelle qui se déroule habituellement au mois de mai de chaque année.
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La Ville de Charlemagne prévoit des collectes de gros rebuts plusieurs fois par année (jusqu’à sept). Il est aussi possible de déposer ceux-ci à l'Écoparc de L'Assomption, selon l'horaire en vigueur.
134, chemin des Commissaires
L'Assomption
450 589-9999
IMPORTANT: Les sacs et les boîtes ne sont pas ramassés lors de cette collecte, ni les objets ou résidus laissés pêle-mêle ou en tas. Les matériaux de rénovation/construction sont également refusés; ceux-ci doivent être apportés à l'Écoparc.
De plus, les réfrigérateurs, congélateurs ou tous appareils contenants des gaz réfrigérants (ex.fréon) ne sont plus ramassés. *Les téléviseurs et les appareils électroniques ne peuvent plus être collectés puisqu'ils relèvent de ARPE-Québec. Tous ces items doivent être disposés à l'Écoparc. Nous vous remercions de votre collaboration.
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La Ville de Charlemagne offre le service de déchiquetage des branches d’arbres.
Les employés municipaux procèdent au ramassage et déchiquetage des branches à deux reprises (printemps et automne) durant l'année.
Le diamètre maximal des branches ne doit pas dépasser 12,5 cm (5 po.) et la longueur ne doit pas dépasser 1,5 m (5 pi.).
Les branches doivent être déposées en bordure de rue, mais elles ne doivent pas être attachées.
Les troncs d'arbres entiers et les souches ne sont pas ramassés.
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La Ville de Charlemagne a retenu les services de l'entreprise Arbressence afin d'offrir un service de collecte des retailles et petites branches de cèdres aux citoyens. Ce service est offert sans frais et facile d'utilisation.
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Les sapins et arbres de Noël naturels font l’objet d’une collecte spéciale. Les arbres doivent être dépouillés de leurs décorations et déposés en bordure de rue la veille de la collecte.
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Ayant récemment renouvelé le contrat de gestion des matières résiduelles sur le territoire, la MRC de L’Assomption et ses municipalités constituantes ont profité de l’occasion pour adopter une nouvelle mesure et ainsi se conformer à la Loi sur la qualité de l’environnement (LQE). À l’instar de plusieurs autres municipalités québécoises, il est désormais interdit de déposer des sacs en plastique compostables dans les bacs bruns servant à disposer des matières organiques.
Pour des raisons environnementales, les municipalités de la MRC de L’Assomption interdisent les sacs en plastique compostables sur leur territoire.
Contrairement à la croyance populaire, les sacs en plastique compostables prennent beaucoup de temps à se décomposer et ne sont pas adaptés aux plateformes de compostage.
Les matières organiques qui arrivent au site doivent passer par un processus mécanique complet visant à briser les fibres des sacs, libérer la matière et tamiser cette dernière afin d’en extraire les contaminants restants. Malheureusement, lorsque les sacs en plastique compostables se confondent avec les sacs en plastique conventionnels, ils se retrouvent parmi les rejets et sont dirigés vers le site d’enfouissement. Ils deviennent des déchets qui compliquent le processus de traitement et de valorisation de la matière organique.
Le Ministère de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques du Québec a statué que les plateformes de compostage ayant obtenu leur certificat d’autorisation à partir de 2008 ne peuvent plus recevoir les sacs en plastique compostables. La raison est que tout sac en plastique compostable, même certifié par le Bureau de normalisation du Québec (BNQ) ou autre certification, est considéré au même titre que les sacs de plastique de polyéthylène traditionnel, car il est tout aussi susceptible d’engendrer des conditions anaérobiques et ainsi, émettre des gaz à effet de serre et des nuisances, telles que des mauvaises odeurs.
Ainsi, la majorité des autres villes du Québec, telles que Terrebonne, Mascouche, Blainville, Rosemère, Mirabel, Sainte-Thérèse, Saint-Jérôme, Boisbriand, Lorraine, Trois-Rivières et Laval, refusent ces sacs.
Afin d’écouler leurs sacs en plastique compostables, les citoyens sur le territoire de la MRC de L’Assomption bénéficient d’une période de transition jusqu’au 1er juin 2022. Après cette date, les sacs en plastique compostables ne seront plus acceptés dans les bacs bruns.
Les sacs interdits dans les bacs bruns sont :
Les solutions alternatives sont :
Il y a plusieurs façons d’utiliser adéquatement le bac de comptoir pour trier ses matières organiques et participer à l'effort collectif de réduction des déchets. L’option qui vous conviendra le mieux est celle qui s’intègre aisément à votre mode de vie, respecte votre budget et correspond à vos priorités.
Voici 6 options de remplacement pour les sacs en plastique compostables :
Plier du papier journal ou des circulaires pour confectionner une doublure qui sera placée à l’intérieur du bac de comptoir. Voir la vidéo de la Ville de Repentigny :
Utiliser les sacs en papier vendus dans les pharmacies, les supermarchés, les quincailleries et les magasins à grande surface. Ces derniers sont spécialement conçus pour les bacs de comptoir.
Déposer les résidus alimentaires directement dans le bac de comptoir.
Utiliser des emballages de la vie courante, composés de fibres (papier et carton) comme réceptacle (sac de farine, sac en papier de la pharmacie, etc.).
Placer du papier journal, des circulaires ou du carton dans le fond du bac de comptoir.
Placer les résidus alimentaires au congélateur jusqu’au jour de la collecte.
Les Villes de la MRC de L’Assomption, soit Repentigny, L’Assomption, Charlemagne, L’Épiphanie et Saint-Sulpice, ont adopté un règlement qui interdit la distribution de sacs de plastique à usage unique sur leur territoire.
Un geste concret en faveur d’une ville plus durable!
Le bannissement des sacs de plastique à usage unique est entrée en vigueur simultanément dans toutes les villes de la MRC le 14 juin 2021.
Sont interdits
Tous les sacs de plastique à usage unique distribués dans les commerces de détail (ex. épiceries, pharmacies, centres commerciaux, quincailleries, etc.) et les établissements de restauration, à titre onéreux ou gratuitement, pour l’emballage des marchandises lors du passage à la caisse.
Cela inclut tous les types de plastique : conventionnel, oxodégradable, oxofragmentable, biodégradable ou compostable.
Sont permis
Les Villes de la MRC de L’Assomption choisissent d’aller encore plus loin dans l’objectif de réduire le plastique éliminé en bannissant l’ensemble des sacs de plastique à usage unique, peu importe leur épaisseur.
En effet, bien qu’ils soient plus épais, ces sacs sont rarement utilisés plusieurs fois, mais leur production entraîne une consommation énergétique et de plastique plus importante que celle d’un sac traditionnel à usage unique.
Plusieurs critères peuvent être considérés afin de faire un choix éclairé. Il difficile de trouver un sac répondant à tous les critères, mais s’il en respecte quelques-uns, il s’agit alors d’un bon choix.
On entend par « sac réutilisable » un sac qu’on se procure et qu’on conserve dans le but de faire ses courses et qui est suffisamment solide pour être utilisé plusieurs fois. Il doit avoir été conçu pour être réutilisé.
Voici quelques critères à considérer dans le choix d'un sac réutilisable à offrir à sa clientèle :
Quelques exemples de sacs autorisés, à titre indicatif :
Oui.
Le règlement sur le bannissement des sacs de plastique à usage unique prévoit des amendes pour les contrevenants. Toutefois, le principe guidant cette réglementation demeure la collaboration de tous, et ce, dans l’atteinte d’un objectif de société!
Dès maintenant, les citoyens sont invités à utiliser des sacs réutilisables dans tous les types de commerces qu’ils fréquentent.
Pour répondre aux achats spontanés, assurez-vous de toujours en avoir un à portée de main. D’ailleurs, certains sacs réutilisables très compacts s’insèrent facilement dans un sac à main, un sac d’école, un sac d’ordinateur, la poche d’un manteau, etc. Sinon, pensez à toujours conserver des sacs réutilisables dans la voiture.
Les commerçants sont des acteurs importants dans la réussite de ce virage écoresponsable et leur approche vis-à-vis de leur clientèle peut faire une grande différence.
Les commerçants concernés doivent apporter les changements requis à leurs opérations quotidiennes afin d’éliminer la distribution de sacs de plastique à usage unique. Ils sont également invités à :
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Les matières compostables se divisent en deux catégories : les résidus de table (fruits, légumes, viandes, cartons souillés d’aliments, etc.) ainsi que les résidus verts (feuilles mortes, gazon, résidus de jardin, etc.). Vous pouvez consulter le tableau des matières acceptées et refusées.
Trucs et astuces pour apprendre à composter facilement et proprement :
Trier les matières compostables, c’est propre et facile. N'oubliez pas que les matières qui seront compostées se retrouvaient déjà dans vos déchets réguliers. L'utilisation du bac brun roulant est obligatoire. Nous vous rappelons que cet outil est fourni gratuitement par la Ville, qu’il demeure en tout temps une propriété de celle-ci et qu’il est strictement interdit de l’utiliser à d’autres fins. Pour mieux vous familiariser avec les matières compostables, nous vous invitons à lire le tableau des matières acceptées et refusées (ci-dessous).
D’autres conseils ? Visionnez la vidéo de la Ligue des EXTRAvertis :
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Un produit en aérosol, c'est un contenant en métal. Est-ce que ça va dans le bac? Et la caisse de clémentines en bois? Qu'est-ce que vous devez faire avec votre nettoyant à vitre quand il est vide? Vous ne savez pas trop?
Vous n'êtes pas seul! On se le demande tous... encore!
Besoin de plus d'informations? Consultez cette publication bien détaillée de notre page Facebook!
C'est ici! (lien erreur 404)
Visionnez les vidéos de la ligue des EXTRAvertis pour en apprendre davantage sur le recyclage!
Vous êtes-vous déjà demandé ce qu’il advenait du contenu de votre bac de récupération? Bien qu’une partie du centre de tri soit automatisée, toutes les matières passent d’abord par les mains des trieurs. Il est vrai que les sacs de plastique sont saisis par d’imposants aspirateurs, mais les trieurs manipulent les autres matières. Toutes les autres matières. Cet aspect représente une nouelle perspective pour toute personne qui se questionne avant de déposer une matière dans son bac de récupération. Mettre dans le bac une matière non recyclable peut être incommodant pour les trieurs, mais peut également aller jusqu’à mettre leur santé en danger.
Alors que les peintures, huiles, solvants, batteries de voiture et contenants sous pression devraient se retrouver à l’Écoparc, leur présence au centre de tri est signe de potentiel danger. Ces produits sont appelés résidus domestiques dangereux (RDD) et sont efficacement récupérés à l’Écoparc de la MRC de L’Assomption.
« Les RDD sont des produits chimiques disponibles en vente libre. Vous pouvez imaginer le mélange explosif que peuvent entraîner des acides, des bases et des oxydants dans des équipements de tri. Les risques sont nombreux, comme les brûlures et blessures corporelles importantes pour les trieurs. », spécifie la contremaître de l’Écoparc de L’Assomption, Johanne Salesse.
La méthode la plus sécuritaire et écologique de disposer des produits chimiques est donc de les apporter à l’Écoparc. Les déchets biomédicaux tels que les seringues représentent également un danger pour les trieurs. Ils doivent être apportés à un point de chute sécuritaire comme la pharmacie.
Si l’automne rime avec la saison de la chasse pour plusieurs, dans les centres de tri qui couvrent les régions fréquentées par les chasseurs, ce n’est pas synonyme de plaisir en forêt. À défaut de savoir où mettre la tête ou même la carcasse entière d’un animal, les chasseurs les déposent parfois… dans le bac de récupération. Vous pouvez imaginer l’état de cette matière une fois arrivée au centre de tri. Il en est de même pour les autres matières incongrues qui se retrouvent à tort au centre de tri, comme les couches souillées. Dans ces cas, les matières ne sont pas dangereuses pour le trieur, mais elles sont fortement incommodantes.
« Il faut garder en tête que tout ce que nous déposons dans notre bac passera entre les mains et sous le nez des trieurs. Ils doivent manipuler les matières recyclables, mais également celles qui ne le sont pas pour envoyer ces dernières au site d’enfouissement. Une tâche parfois dangereuse ou peu ragoûtante qui peut être évitée grâce à la collaboration des citoyens. », mentionne Myriam Forget-Charland, responsable des communications chez Tricentris, qui dessert la MRC de L’Assomption et soutien financièrement la campagne On se le demande tous.
Les matières recyclables demeurent le plastique, le verre, le métal, le papier et le carton contenus dans les contenants, emballages et imprimés. Le reste doit être envoyé au bac brun, à l’Écoparc, au centre de dons ou ultimement à la poubelle lorsqu’il n’est pas valorisable.
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Depuis le 1er avril 2014, il est interdit de placer des branches, des feuilles fraîches, des rameaux, des copeaux, des billes de bois et des bûches dans vos bacs lors des collectes des matières compostables, recyclables et des ordures ménagères. La Ville procède à des collectes spéciales pour les branches. Pour en apprendre davantage sur l'agrile du frêne, lisez ce court ce court feuillet.
Visionnez le vidéo à cet effet - un bel exemple d'une mobilisation de vos élus de la grande communauté métropolitaine :
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Avez-vous entendu parler du « zéro déchet » ? Ce mouvement, dont l’objectif est de réduire les matières envoyées à la poubelle, gagne en popularité. Une idée saugrenue? Pas du tout : partout à travers le monde, de plus en plus de citoyens adoptent ce mode de vie. Avec la multiplication des livres, des blogues, des conférences et même un tout premier festival au Québec en 2017, le zéro déchet a le vent dans les voiles. À Montréal et ailleurs au Québec, les épiceries en vrac poussent comme des champignons. Portrait d’un phénomène grandissant, qui n’est pas destiné à demeurer exclusivement urbain!
Le mouvement zéro déchet s’inscrit dans un désir de réduire la quantité de matières envoyées à l’enfouissement. Entreprendre une démarche zéro déchet signifie de modifier certaines habitudes pour réduire l’emballage et les objets à usage unique. Nous avons demandé à Cindy Trottier, auteure du blogue Tendance Radis et instigatrice du Circuit Zéro Déchet, de nous partager quelques trucs :
Il est souvent plus facile de changer ses habitudes à la maison qu’à l’extérieur, mais de plus en plus de commerces font partie du Circuit Zéro déchet, c’est-à-dire qu’ils acceptent de servir les clients qui apportent leurs propres contenants. Sandwich pour apporter, café fraichement moulu, bar à olives ou sushis, vous pourriez être surpris de l’ouverture des commerçants!
Laure Caillot, conférencière zéro déchet, l’a remarqué plus d’une fois. « On pense parfois qu’on se fera juger en apportant nos propres contenants ou sacs. Pourtant, si j'avais su plus tôt que c'était aussi simple et que j'aurais un tel accueil positif de la part des commerçants, j'aurais commencé ce geste bien avant ! »
Pour la coorganisatrice du Festival zéro déchet, Florence-Léa Siry, il faut surtout y prendre plaisir sans culpabiliser. « Si vous faites votre café à la maison et que vous le mettez dans une tasse réutilisable, vous faites déjà un geste zéro déchet. Le but, c’est de tendre vers l’objectif zéro, mais en valorisant les petits gestes et en vous poussant encore plus loin en vous offrant d’autres solutions. »
La blogueuse chez Lauraki – Maman zéro déchet, Laure Caillot, est du même avis. « Tendre vers le zéro déchet, ce n'est pas une compétition à savoir qui aura le plus petit sac à ordures. C'est surtout accepter que l'on peut changer notre mode de vie un geste à la fois, un déchet en moins, et surtout en écoutant son propre rythme ».
Prêts à relever le défi?
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